Et si l’administration commençait par acheter français ?

Un écart peu significatif, donc.Largement sous dotés au regard des investissements nécessaires à ce type de projet, vilipendés par les acteurs du marché au prétexte que l’Etat n’avait pas à créer un outil industriel pour concurrencer Amazon, Google et autres GAFA, accusés de retards dans leurs développements et le lancement de leurs offres, les deux consortiums sont aujourd’hui à la peine sur un marché français du cloud qui, de surcroît, ne décolle toujours pas.Ils disent d’abord que ce qu’ils éprouvent est un sentiment de libération.C’est cette sympathie mobile, toujours sur le point de se donner, qui est l’essence même de la grâce supérieure.Tout d’abord, le ‘Crédit Impôt pour la Compétitivité et Emploi’, opérationnel en 2014, vise à réduire le coût du travail, en jouant sur les charges sociales.En vain nous montrons que, dans la représentation d’une « abolition du réel », il n’y a que l’image de toutes réalités se chassant les unes les autres, indéfiniment, en cercle.Chacune de ces singularités a son origine.Là où le rythme du mouvement est assez lent pour cadrer avec les habitudes de notre conscience, — comme il arrive pour les notes graves de la gamme par exemple, — ne sentons-nous pas la qualité perçue se décomposer d’elle-même en ébranlements répétés et suc­cessifs, reliés entre eux par une continuité intérieure ?Même si elle rapporte beaucoup – notre cinquième ressource fiscale, après la TVA, la CSG, l’IR, l’IS- elle n’a pas été conçue dans un but écologique : c’est une accise, impôt apprécié des fiscalistes, telle l’antique gabelle. »Mon rêve est la parité », a ainsi déclaré Christian Navlet.Et cela pourrait avoir pour conséquence de freiner le financement de l’économie ou de compenser, par des taux de crédit plus élevés, le manque à gagner.Si Déroulède et son état-major de braillards avaient cru à la possibilité d’une revanche, ils ne se seraient point contentés des ridicules et stériles manifestations auxquelles ils se vouèrent.