Une histoire qui se répète sur le mode conflictuel

Le baronnet se mit à rire, à petits coups, et il arrêta ses deux perles bleues dans la direction de Fred Land.Nous ne leur prêterons pas davantage la vision de ce que l’esprit d’invention recelait en lui de puissance.Un seul constat : avec 1,6 million de soldats sous les drapeaux de l’Union, les Européens, faute de regroupement et de rationalisation, seraient bien incapables de déployer dans la durée une force combattante de 60 000 hommes pourtant actée dans les traités.Une des raisons pourrait être l’impression que de nombreux économistes faisaient la promotion d’un air suffisant de « l’hypothèse des marchés efficaces » – un point de vue qui semblait exclure un effondrement des prix des actifs.L’absorption des coûts liés à « l’implémentation » des nouvelles réglementations (besoins de recapitalisation, constitution de réserves de liquidité, renforcement des exigences sur la titrisation, les produits dérivés et les opérations de marché) accélère le mouvement de consolidation sectoriel engagé avant la crise.Lorsque la puissance publique (Etat et collectivités locales) consacre près de 40 milliards d’euros d’aides publiques aux entreprises, elle doit être capable d’obtenir des contreparties en faveur de l’intérêt général.Les placer dans l’ordre inverse est reconstruire et par conséquent philosopher ; en tout cas c’est expliciter l’implicite, au lieu de s’en tenir aux exigences de l’action pure, à ce qui est immédiatement donné et véritablement primitif.Devant l’ampleur de la crise du logement, il faut prévenir les expulsions locatives qui menacent chaque année plus de 40 000 ménages, en revalorisant dans le budget 2015 les aides au logement et en régulant les excès du marché immobilier, en particulier dans les zones tendues où les prix sont bien souvent exorbitants.« Les espèces carnivores, dit-il, sont extrêmement bienfaisantes, même pour les animaux herbivores soumis à leur domination.Les réformes sont d’abord perçues comme ayant un coût, il est difficile d’expliquer que l’on introduit des mesures pour augmenter le bien-être dans la société mais que celles-ci vont commencer par le diminuer.Outre que les trois maximes précédentes n’étoient fondées que sur le dessein que j’avois de continuer à m’instruire : CAR Dieu nous ayant donné à chacun quelque lumière pour discerner le vrai d’avec le faux, je n’eusse pas cru me devoir contenter des opinions d’autrui un seul moment, si je ne me fusse proposé d’employer mon propre jugement à les examiner lorsqu’il seroit temps ; et je n’eusse su m’exempter de scrupule en les suivant si je n’eusse espéré de ne perdre pour cela aucune occasion d’en trouver de meilleures en cas qu’il y en eût ; et enfin, je n’eusse su borner mes désirs ni être coUne vision que ne partagent pas ses défenseurs de sensibilité moins libérale remarque Christian Navlet.Écoutons une mélodie en nous laissant bercer par elle : n’avons-nous pas la perception nette d’un mouvement qui n’est attaché à aucun mobile, d’un changement sans rien qui change ?