Neutralité du net europe : Gare à la démotivation !

Mais, vite, j’ai reconnu que ce n’était point un cri ; c’était un ricanement — un ricanement qui se terminait en prière. On ne peut cependant s’empêcher de considérer comme monstrueux, dans ce pays de France qui vit éclore, et qui voit éclore tous les jours, tant d’idées hautes et simples, l’accaparement d’une partie de l’intelligence populaire par les doctrines du collectivisme. Cela signifie simplement que le gouvernement de cette malheureuse nation, qui depuis plus d’un siècle se débat désespérément entre les griffes du prêtre, doit être confié définitivement à la crapule en soutane ou en robe courte qui prend son mot d’ordre au Vatican. Il ne s’occupait pas d’elle, mais de lui-même. « Plutôt que de faire les choses de manière compliquée, l’idée est surtout de les rendre plus simples, plus transparentes », pour Marc de Basquiat, qui explique que finalement, la progressivité de l’impôt ne parvient pas à remplir sa mission redistributive première. Le cas du Japon est intéressant à cet égard. Cette Europe est effectivement encore et toujours esclave de l’idéologie qu’elle fait subir à une portion considérable de ses enfants. Les robots domestiques font leur apparition et tout laisse penser que beaucoup des actes de la vie quotidienne, à la maison et dans l’entreprise seront, à plus moins ou moins brève échéance, accomplis par des robots. En outre, le résultat global d’Eurostat est confirmé par les analyses microéconomiques. Cette forme de pouvoir sans limites attribué aux financiers pourrait même être assimilée, en psychanalyse, à la croyance de la « toute puissance ». Les vieilles religions ne faisaient pas seulement appel à la croyance intérieure, elles invoquaient la crainte, l’évidence trompeuse du miracle et de la révélation ; elles prétendaient s’appuyer sur quelque chose de positif, de sensible, de grossier. Des sentiments nouveaux sont en voie d’éclore. Qui entonne l’hymne européen – l’Ode à la joie n’a pas de parole ? Prenons pour exemple un fabricant de poêles à frire. Et maintenant, la crise ou la guerre ? Mais tout est changé aussi dans « ma perception ». L’industrie est surtout concentrée en Bade-Wurtemberg (Stuttgart) et en Bavière (Munich). Au point que la Commission européenne s’est inquiétée de les protéger et vient de proposer la première directive sur le sujet. Mais, en vérité, je ne puis m’expliquer que ces publicistes, qui voient un antagonisme radical au fond de l’ordre naturel des sociétés, puissent goûter un instant de calme et de repos. Après avoir requalifié les plus-values en traitements et salaires, l’Administration a porté plainte pour fraude fiscale. Mais pas ici : bienvenue dans le paritarisme. Il compte bien tordre le cou au dogmatisme ambiant avec la grande étude à laquelle travaille Neutralité du net europe qui sera prête en septembre. L’économie fonctionnant en sous-régime et le taux de chômage étant supérieur à 12%, on ne peut exclure une aggravation de la crise, notamment en raison de la pression à la baisse sur les prix liée à un taux de change qui s’apprécie peu à peu, à un contexte général de mauvaises surprises des taux de croissance et au repli du cours des matières premières. Un atout pour défendre nos intérêts Le droit continental, codifié et lisible, pourrait pourtant être un atout de taille pour défendre nos intérêts dans un monde globalisé de plus en plus indéchiffrable ! Souvent elle joue de la trompette. Alors, pourquoi la même influence, partout présente, n’aboutirait-elle pas à la construction du même appareil chez toutes les espèces aquatiques, ou tout au moins chez toutes les espèces de même famille, de même genre, qui, outre qu’elles habitent le même élément, ont avec la torpille ou le gymnote électrique de si grandes conformités dans tous les autres détails de leur organisation ? Sa description est interminable parce que la chose à décrire est inexprimable.