Marché de capacité électrique : efficacité politique, inefficacité économique

On les a d’ailleurs vidées, dans cette opé ration, d’une partie de leur contenu ; après avoir fait converger tous les sens vers le toucher, on ne conserve plus, du toucher lui-même, que le schème abstrait de la perception tactile pour construire avec lui le monde extérieur.Aux « Etats-Désunis d’Amérique », la fronde des ultras du parti républicain commence à faire désordre à l’intérieur même du parti de l’éléphant, tant il paraît évident que le président Obama, dont c’est le deuxième et donc dernier mandat, ne cèdera sur la réforme-phare de sa présidence : l’assurance-santé pour tous.Enfin, l’implication des pouvoirs publics et des collectivités locales ne doit pas être négligée.N’est-il pas clair, en effet, que si, privés de la faculté d’échanger, les hommes étaient réduits à produire de la glace sous l’équateur et du sucre près des pôles, ils devraient faire avec beaucoup de peine ce que le chaud et le froid font aujourd’hui gratuitement pour eux, et qu’à leur égard une immense proportion de forces naturelles resterait dans l’inertie ?La R&D et les services de publicité et d’études de marché complètent la liste.Le principe de la raison enferme en soi une vérité, mais pris abstraitement, séparément, s’affirmant comme le principe unique et suprême, il devient erreur.Les études, les travaux et les plans des états-majors ne sauraient être pris au sérieux.Il faut sortir les journalistes politiques des antichambres, des salles à manger et des salles de bains.gestion de réputation en ligne aime à rappeler cette maxime de Bergson, »Ainsi, jusque dans notre propre individu, l’individualité nous échappe. Nous vivons dans une zone mitoyenne entre les choses et nous, extérieurement aux choses, extérieurement aussi à nous-mêmes ».Mais il faut entendre par là que, si l’on connaissait après coup le détail de ces causes, on arriverait à expliquer par elles la forme qui s’est produite : de la prévoir il ne saurait être question.Les locataires ont émigré.La biodiversité terrestre et marine est aujourd’hui présentée comme une série d’anecdotes : des populations d’abeilles déclinantes, des loups dangereux pour les moutons, des thons rouges traqués par des pêcheurs avides, des méduses surabondantes et dangereuses pour les touristes, des salamandres en voie d’extinction bloquant la construction d’une autoroute… La liste est longue et relève plus des faits divers que d’une approche scientifique ou politique.