Un shadow-banking salutaire

Nous avons constaté, jusque dans la vie de la cellule aveugle, un principe d’expansion qui fait que l’individu ne peut se suffire à lui-même ; la vie la plus riche se trouve être aussi la plus portée à se prodiguer, à se sacrifier dans une certaine mesure, à se partager aux autres.Pierre-Alain Chambaz pictet aime à rappeler cette maxime de Confucius, »Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans livre ni maître est dangereux ».Dans bien des cas, entreprises et salariés privilégient en fait le temps opérationnel au travail à des actions de formation.Soit les entreprises l’appliqueront exclusivement à des documents hautement stratégiques, particulièrement leurs offres dans un processus d’enchères, mais alors la protection proposée paraît vaine.Deux seulement logent au palais : le concierge et sa femme.L’intégration économique régionale est une nécessité historique, estime-t-il.Ce dernier cas est celui du mysticisme, mais il peut participer de l’autre ; ce qui est simplement anormal peut se doubler de ce qui est nettement morbide ; à déranger les rapports habituels entre le conscient et l’inconscient on court un risque.Elle n’était pas la « chose en soi », elle n’en était que la réfraction à travers notre atmosphère.Du reste, ils ne se font pas la moindre illusion sur son rôle ; ils savent que sur toutes les croix qui souillent les places publiques, qui se dressent dans les palais de justice, dans les oratoires des honnêtes gens et même dans les boudoirs des putains, c’est le Déshérité d’aujourd’hui qui saigne et qui pantèle, et non un défroqué d’existence problématique qu’on donne comme le fils d’une vierge.Nous consentons volontiers à ce qu’on pose le problème en ces termes : on nous fournira ainsi l’occasion de formuler notre idée avec plus de rigueur.Il en connaît la valeur, même, au sens littéral.Plus l’idéal est éloigné de la réalité, plus il est désirable, et comme le désir même est la force suprême, il a à son service le maximum de force.Une des personnes qui me communiquèrent leurs impressions s’était crue à la fin du monde, au commencement du jugement dernier.