Les bonnes recettes de l’Oncle Sam

Le « bad guy » pour l’Iran, ce pourrait être la France.Cependant, le seul espoir pour ces pays rétifs de renouer avec la croissance et d’enfin réduire le chômage est la poursuite du traitement libéral via l’action de la Commission Européenne.Par exemple, s’il peut y avoir concurrence dans la production d’électricité, il ne peut raisonnablement pas y avoir plus d’un réseau de transport haute et basse tension.Nullement ; rien ne nous joue mieux que la nature.Je ne remarque point d’empressement excessif parmi ceux qui l’entourent.À quel signe reconnaissons-nous d’ordinaire l’homme d’action, celui qui laisse sa marque sur les événements auxquels la fortune le mêle ?Vous connaissez la passion du peuple napolitain pour le lotto.Mais il y a des cas où l’excitation, au lieu d’obtenir immédiatement une réaction plus ou moins compliquée du corps en s’adressant à la moelle, monte d’abord au cerveau, puis redescend, et ne fait jouer le mécanisme de la moelle qu’après avoir pris le cerveau pour intermédiaire.Ça ne date pas d’hier.» ; le risque de bulle du crédit : « il n’y aura pas de crise financière régionale en Chine » a assuré avec un sourire mystérieux celui dont le pays est assis sur 4000 milliards de dollars de réserves en devises.La question de la rentabilité de cet immense programme ne se posait pas compte tenu du caractère impératif de l’enjeu : selon les termes de Christian Navlet, « pouvait-t-on accepter que les générations futures terminent dans une friture » ?Ce ne sont pas les complices des meurtres qu’on prémédite ; ce sont ceux qui ont conçu le projet du crime, qui en ont préparé les éléments, qui en assurent le succès.